Elle complimente toutefois certaines actrices : Isabelle Adjani, « dont l'autodérision est à saluer », Laetitia Casta, « charmante », Marina Hands, « à contre-emploi », et Julie Ferrier, « hilarante »[2]. Here is the trailer for @[242270019659332:274:Les Filles Du Soleil], Eva Husson's new film starring Golshifteh Farahani and Emmanuelle Bercot. Rose est une femme d'affaires influente qui a tout sacrifié pour sa vie professionnelle. Il finit par reprendre le titre d'une chanson d'Alain Souchon : Sous les jupes des filles[22]. ... M reprend "Sous les jupes des filles" de Souchon dans Boomerang. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Selon elle, « si ça dérange, c’est sans doute qu'on voudrait toujours voir les femmes sous leur meilleur jour »[22]. De son côté, Jo espère que Jacques va la rejoindre chez elle. Parmi les avis très enthousiastes, figure celui de Patricia Gandin qui décrit le film, dans le magazine Elle, comme « un feu d’artifice en accéléré », avec « des scènes et des dialogues trash, du concentré d’humour mais aussi de sensibilité »[22]. Dans Le Progrès, Nathalie Chifflet estime qu'Audrey Dana est « une fille culottée et de son époque » qui « ne s’est pas embarrassée de fausse pudeur », laissant ses personnages s'exprimer « sans souci de la correction ni de la bien-pensance », cela « en abordant de front son sujet, sans s'encombrer de psychologie à deux balles, mais sans craindre de grossir le trait ni d'user de clichés et stéréotypes »[54]. Notant que « le scénario trimballe sa part de vécu », elle affirme que le film tient autant de la « pure comédie trash » que du « vrai faux docu-fiction »[54]. Elle fait également participer ses futures actrices à la préparation et à la création des personnages[15], y compris certaines, comme Mélanie Laurent, qui n'ont finalement pas participé au tournage[6]. Une avant-première parisienne du film est organisée la veille de la sortie en salles à l'UGC Normandie, en présence d'une grande partie l'équipe[n 4] mais aussi de plusieurs autres personnalités d'horizons divers : JoeyStarr, Laurence Ferrari, Roselyne Bachelot, Audrey Pulvar, Marie-Ange Casta ou encore Emmanuel Chain[43]. Les producteurs de Fidélité Films ont connaissance de cette conversation et demandent à Audrey Dana ce qu'elle aimerait voir naître comme projet de comédie qui puisse proposer autre chose aux femmes[13]. Les répliques ou la gestuelle ont parfois été rediscutées de façon collective[22]. De retour chez elle, Fanny ressent des pulsions sexuelles, que Jean repousse, et est victime d'hallucinations. Marina Hands dit avoir accepté facilement le rôle puisqu'elle souhaitait travailler avec Audrey Dana, quelles que soient les conditions[14]. Toutes les actrices principales ont perçu le même salaire, d'un montant « inférieur à ce qu’elles perçoivent habituellement » selon la réalisatrice[22], avec des cachets de 2 500 euros par jour de tournage[33]. Il a pris les paroles de la chanson d’Alain Souchon au mot. Selon lui, ce film « très long, jamais très drôle, s’écroule sous le poids de ses trop nombreuses intrigues et de ses ambitions maladroites de film choral XXL »[1]. Elle considère en outre que son film est « un peu dans l'esprit des Infidèles » car les personnages féminins n'y ont « pas du tout la part belle » et que l'objectif est de « casser un peu le mystère » des femmes[13]. Pour lui, le film et son titre original révèlent, de la part d'Audrey Dana, une vision « obsédée par le sexe et les hormones à la manière d'un/e adolescent/e »[c 16],[70]. Cette dernière est d'abord réticente car elle se dit qu'elle n'a « pas vraiment l’âme d’une Chienne de garde » mais ultérieurement convaincue par l'« énorme travail de recherche, en interrogeant des femmes en amont »[14]. Rétines et pupilles, Les garçons ont les yeux qui brillent Pour un jeu de dupes: Voir sous les jupes des filles, Et la vie toute entière, Absorbés par cette affaire, Par ce jeu de dupes: Voir sous les jupes des filles. Promis, juré, Portail de la sexualité et de la sexologie, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Sous_les_jupes_des_filles_(film)&oldid=179324402, Œuvre dont le titre fait référence à une chanson, Page pointant vers des bases relatives à l'audiovisuel, Page pointant vers des bases relatives à la musique, Portail:Sexualité et sexologie/Articles liés, Portail:Époque contemporaine/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, IMDb utilise un système de moyenne qui lui est propre. Elle est elle-même militante en tant que marraine de Paroles de femmes, une association qui lutte contre le sexisme et les inégalités[34]. Pour TéléCinéObs, Nicolas Schaller parle de « navet sans nom » qui serait « un Cœur des hommes pour ménagères de moins de 50 ans, mis en scène comme une pub Narta, qui aligne plus de clichés et de mauvais goût qu’un test socio-cul dans Cosmopolitan »[4]. Ysis et Marie s'y rendent également, la première quittant ensuite les lieux par jalousie lorsque Marie se met à complimenter Rose. Outre les aspects cinématographiques, le film a suscité des critiques d'un autre ordre à la suite du positionnement de sa réalisatrice et de certaines actrices sur la question du féminisme et le rejet de ce terme, même si Audrey Dana a fini par reconnaître que sa démarche était foncièrement féministe. Le site Le cinéma est politique note que le film « semble avoir l'ambition de traiter des sujets graves et importants », par exemple avec « la jouissance féminine et la pression sexuelle qui s'exerce sur les femmes, le cancer du sein et la violence conjugale » mais que ces sujets « sont traités de manière complètement anecdotique » et « consciencieusement dépolitisés »[100]. Dans Télérama, Guillemette Odicino note que, « sur le papier », le public pouvait envisager « quelque chose comme du Judd Apatow en talons hauts sur la place du Trocadéro » mais qu'il se retrouve devant un film « au mauvais goût assumé », qui « tourne vite au catalogue, avec quelques bons moments et de grosses baisses de régime »[2]. Durant le développement et la préproduction, le film change plusieurs fois de titre. Selon lui, le film est plus original que Les Gazelles ou Jamais le premier soir, sortis plus tôt la même année[53]. Un violent choc à la tête lui révèle ses envies et ses fantasmes. Lorsqu'elle apprend que son jeune amant ne dormira pas avec elle la nuit suivante, elle tente d'appeler un autre amant pour lui tenir compagnie. Le positionnement du film, de la réalisatrice et de ses actrices envers le féminisme a suscité un certain nombre de critiques, commentaires et interrogations[100],[103], tout comme la question du public visé, Audrey Dana évoquant avant tout sa volonté de faire, selon les variantes, « un film de femmes pour les femmes »[103] ou « un film par des femmes pour les femmes, et les hommes qui aiment les femmes »[21]. At theaters November 21th. De son côté, la réalisatrice avoue qu'elle a également été « terrorisée » au départ, car elle continuait de penser à Mélanie Laurent, initialement prévue pour ce rôle[6]. Imany crée la bande originale en parallèle de l'écriture du scénario[16]. Elle se demande ainsi s'il y a une crainte d'échec commercial en cas de revendication clairement féministe et précise qu'aux États-Unis c'est, au contraire, devenu « un argument marketing », citant Lena Dunham, « qui incarne le summum du cool et se dit farouchement féministe », mais aussi Beyoncé ou Pharrell Williams[103]. Quant à Laetitia Casta, Audrey Dana la rencontre dans son bureau de production alors qu'elle a déjà interrogé des centaines de femmes pour son projet[14]. The film tells the stories of eleven women in Paris and features an ensemble cast including Isabelle Adjani, Alice Belaïdi, Laetitia Casta, Audrey Dana, Julie Ferrier, Audrey Fleurot, Marina Hands, Géraldine Nakache, Vanessa Paradis, Alice Taglioni and Sylvie Testud. Lors de sa première semaine d'exploitation, le film se place à la deuxième place du box-office hebdomadaire derrière Edge of Tomorrow, avec plus de 400 000 entrées[75], puis il prend la première place du box-office national lors de la deuxième semaine malgré une baisse de fréquentation (-40,11 %), avec plus de 240 000 entrées[76], avant de redescendre à la troisième place la semaine suivante derrière Triple Alliance et Qu'est-ce qu'on a fait au Bon Dieu ?[77]. D'autres déclarations d'actrices n'ont pas été commentées par Kopiejwski. Rétines et pupilles Les garçons ont les yeux qui brillent Pour un jeu de dupes Voir sous les jupes des filles Et la vie toute entière Absorbés par cette affaire Par ce jeu de dupes Voir sous les jupes des filles … De retour chez eux, Ysis trouve le prétexte de descendre les poubelles pour rattraper Marie au bas de l'immeuble. Au cours de cette phase de développement, les producteurs lui suggèrent de réaliser elle-même le film[17]. Lors de la phase de préparation, elle affirme que son film « n'est pas féministe, au contraire », justifiant cela par le fait que le film ne montre pas forcément une image positive des femmes[13]. Sing with lyrics to your favorite karaoke songs. Au cinéma le 4 juin 2014. Die Bilder ihrer aufgekratzten Komödie wirken frisch und zelebrieren streckenweise Weiblichkeit in prallen Farben. En France, Sous les jupes des filles totalise environ 1,39 million d'entrées[25],[73], dont plus de 270 000 à Paris[25]. Dans Les Inrockuptibles, Romain Blondeau qualifie le film de « comédie atroce », fustigeant « un déferlement de vulgarité », qui « frôl[e] une outrance grossière évoquant le pire du cinéma de mecs façon Very Bad Trip », et « un final conservateur »[58]. Toutefois, il parle de « comédie superficielle », qui, selon lui, est desservie par « la musique qui surligne sans arrêt », par les « cris et gestes exagérés » et par « la tendance de la comédie grand public française à la vulgarité moins élaborée »[c 13],[69]. Jo se confie ensuite à Agathe, pleurant parce que personne ne veut d'elle, alors que Sophie, dans l'appartement voisin, pousse de forts cris de plaisir en plein ébat avec son mari. Charles-Henri Ramond, dans la revue Séquences, précise d'abord qu'il est difficile de « reprocher à Audrey Dana d’avoir joué d’audace pour tenter de dresser un portrait des multiples facettes de la femme française moderne et de ses relations avec les hommes » mais estime que le film est un « hallucinant enchevêtrement de sordide, d’humour sous la ceinture et de parties de fesse mal filmées » et « s’avère d’une rare vulgarité et d’une invraisemblable timidité »[63]. Alain Souchon - Sous Les Jupes Des .. Cela entraîne chez elle une sexualité compulsive incluant des désirs pour Jacques, son amant marié. History: In Kurdistan, Bahar, commander of the Battalion The Girls of the Sun, is preparing to free his city from the hands of extremists, with the hope of finding his son. Tournée le 24 juillet 2013[27], la scène du flash mob au Trocadéro a impliqué 250 femmes[28]. En plein repas, Ysis reçoit un appel de Marie. En Allemagne, Luitgard Koch, pour Programmkino, site consacré au cinéma d'art et d'essai, est plutôt enthousiaste, considérant que « les images de [cette] comédie déchaînée agissent avec fraîcheur et célèbrent avec distance la féminité dans des couleurs éclatantes »[c 1],[64]. Un médecin des assurances lui fait savoir que son taux de testostérone est anormalement élevé pour une femme et lui assène une série de stéréotypes sur la femme dominante, qui agacent profondément Rose, laquelle fait remarquer que ces propos sont misogynes. Le Québécois Charles-Henri Ramond, dans la revue Séquences, regrette aussi la maladresse de cette « finale ultra caricaturale qui remet la femme bien gentiment dans un foyer qu’elle n’aurait jamais d[û] quitter »[63]. En évoquant alors son projet de deuxième long métrage, Si j'étais un homme, elle parle néanmoins d'un « film profondément féministe dans le sens joyeux du terme, et aussi une invitation à se réconcilier avec les hommes »[106]. Selon lui, « il faut reconnaître qu’il se passe quelque chose » et que « certains portraits sont bien tapés », citant les personnages d'Agathe et Inès[59]. Sophie, voisine de Jo, est une autre employée de Lili. 3:40. Elle considère que « rire de nos petites humiliations, nos fantasmes, nos frustrations, notre sensualité, nos sexualités, nos paradoxes, ça devrait être déculpabilisant pour les femmes »[22]. Plus tard, Jo retrouve Jacques devant son appartement. Elle estime que Nakache fait, pour sa part, preuve d'une « mauvaise foi patentée »[103] quand l'actrice affirme : « Pardon pour mes aînées qui se sont battues pour que je puisse porter des jupes et prendre la pilule, mais je n’y ai même pas pensé »[104]. I tabbed the song including the guitar lines that were missing such as the intro/solo/outro, corrected some chords, specified them and adjusted some lyrics that weren't good. Dana permet toutefois à Fleurot d'adapter son personnage qui n'avait pas été écrit pour elle[14]. La scène dans laquelle les personnages de Laetitia Casta et Pascal Elbé vont au restaurant[29] a été tournée à la Brasserie Gallopin[30]. Selon Audrey Dana, Isabelle Adjani a appris l'existence de son film « lors d’une discussion à 2 heures du matin avec d’autres actrices, au festival de l’Alpe d’Huez », et c'est Adjani elle-même qui est ensuite venue la voir, à un moment où toutes les actrices n'avaient pas été choisies[22]. Un pré-financement participatif est également réalisé sur Ulule où le film obtient 326 préventes[24]. Elle parle aussi de « clichés » qui ont quelque chose de « bancal » à propos du personnage de Rose[c 4],[65]. Il affirme aussi que les personnages sont « plus archétypaux que clichés » et « interprétés par un casting gratiné à point »[55]. L'actrice leur répond qu'il faudrait d'une part demander aux actrices ce qu'elles aimeraient vraiment qu'on leur propose, et d'autre part interviewer de nombreuses femmes pour essayer notamment de savoir ce qu'est une femme au XXIe siècle et de connaître leurs attentes en termes de cinéma[13]. C'est alors Olivier Delbosc qui suggère Julie Ferrier pour ce personnage[16]. Il passe ensuite deux autres semaines dans le top 10, au septième rang[80] puis au neuvième[81], et le film reste à la onzième place puis à la dix-septième, passant donc huit semaines d'affilée dans le top 20 hebdomadaire[25]. Kopiejwski rappelle en effet que Nakache avait fait un lien entre ce film et le féminisme lorsqu'elle avait évoqué ses réticences de départ, regrettant aussi que l'actrice véhicule « l'amalgame crispant entre féminisme et Chiennes de garde, et la croyance un peu atterrante que le féminisme appartient au passé »[103]. Selon Audrey Dana, les actrices sont parfois allées « plus loin » que ce qui était prévu dans la façon de « casser les codes »[22]. Il n'y a donc, dans son film, « pas de scènes de nu, de situations salaces, glauques, voyeuristes »[22]. Elle affirme alors que ces réactions lui ont fait comprendre qu'il « fallait absolument faire bouger les lignes »[102]. La version du 7 mai 2018 de cet article a été reconnue comme «, Absence de tabous : menstruations, sexualité et langage, De la question du féminisme et du public visé, « les deux mois les plus intéressants de [s]a vie », « elles aimeraient jouer mais qu'on ne leur a jamais proposé », « il y a un peu [d'elle-même] dans chacune des filles du film », « Quand elles recouvrent la vue, 80 % des femmes changent de vie », « ont le pouvoir et le talent de lever de l'argent, faire naître des films, les rendre populaires », « énorme travail de recherche, en interrogeant des femmes en amont », « partie selon elle des femmes représentatives de cette féminité », « une branche à laquelle [elle s'est] raccrochée et qui [lui] a évité de sombrer », « lors d’une discussion à 2 heures du matin avec d’autres actrices, au, « le seul rôle qu'elle n'aurait pas choisi », « inférieur à ce qu’elles perçoivent habituellement », «  Ce qu’il y a d'admirable dans le bonheur des autres, c'est qu'on y croit », « invitation à danser, à profiter, à vivre », « Rendez-vous du cinéma français à Paris », « des scènes et des dialogues trash, du concentré d’humour mais aussi de sensibilité », « une cascade de stars, de finesse et d’humour », « os[e] cette approche déjantée, percutante, sans filet, mais si juste, pour raconter les femmes », « premier long-métrage virevoltant et survolté », « un film barré, vachard et savoureux comme une soirée entre filles », « le culot d'oser passer derrière la caméra pour un film choral casse-gueule », « une vraie qualité d'écriture et de mise en scène et un tempérament trempé de chef(taine) d'orchestre », « quelques personnages bien croqués (Audrey Dana ou Marina Hands) », « en abordant de front son sujet, sans s'encombrer de psychologie à deux balles, mais sans craindre de grossir le trait ni d'user de clichés et stéréotypes », « le scénario trimballe sa part de vécu », « on n'échappe pas au zapping de l'une à l'autre », « qu'il faut savoir espérer du monde et du. Rétines et pupilles, Les garçons ont les yeux qui brillent Pour un jeu de dupes: Voir sous les jupes des filles, Et la vie toute entière, Absorbés par cette affaire, Par ce jeu de dupes: Voir sous les jupes des filles. Au travail, elle reproche à Sophie d'avoir su depuis longtemps que Jacques la trompait et se venge en criant devant tout le monde que sa collègue est frigide. Está claro que Dana pertenece al género femenino, pero no milita en él: su película no la habría hecho mejor ni el más irredento de los misóginos. Deux nouveaux personnages font alors son apparition dans l'histoire. Imany a fait appel à quatre autres chanteuses pour interpréter une partie des titres : l'Argentine Natalia Doco, la Britannique Sherika Sherard, l'Australienne Emilie Gassin et la Française Axelle Rousseau[35]. Un peu plus mitigé dans Studio Ciné Live, Fabrice Leclerc évoque « un film barré, vachard et savoureux comme une soirée entre filles », de la part d'une actrice qui a « le culot d'oser passer derrière la caméra pour un film choral casse-gueule »[53]. Le film a été aussi accusé de véhiculer certains stéréotypes[1],[4],[100]. Le titre The Good the Bad & the Crazy a été 79e des ventes de singles en France et a intégré le top 200 des chansons pendant six semaines[39]. En fêtant ce procès gagné, Agathe ose enfin dire « Je t'aime » à son nouveau compagnon. Elle est la meilleure amie de Jo, célibataire qui a tendance à être nymphomane durant la moitié de son cycle menstruel et glacée pendant l'autre moitié. Admettant que cette scène est « assez rock and roll », Audrey Dana a préféré la jouer elle-même plutôt que de l'imposer à une autre actrice, même si elle y a « mis de la pudeur – tout se passe sous les draps – et des effets spéciaux poétiques puisque, à peine entrevu, le sang se transforme en paillettes qui s’envolent »[22]. France Inter. [3] The French title directly translated is "Under the Skirts of Girls".[4]. Sous l'impulsion de Fidélité[13], elle décide alors de travailler sur une « comédie de femmes »[14], mettant entre parenthèses sa carrière d'actrice pour se consacrer pleinement à ce projet[13]. Dans cette scène, et donc dans ce lieu, apparaissent aussi, plus brièvement, Liste d'œuvres dont le titre fait référence à une chanson, Centre national du cinéma et de l'image animée, « Sous les jupes des filles », un film pas féministe. Parmi les héroïnes, il applaudit le duo Paradis-Belaïdi et « quelques personnages bien croqués (Audrey Dana ou Marina Hands) », mais il en relève aussi quelques-uns « sacrifiés à l'écriture »[53]. Pendant près d'un mois, ces onze femmes se croisent ou interagissent, nouant parfois des relations entre elles. Dans L'Express, Éric Libiot note que « le propos n'est pas une enquête sur la place de la femme dans un monde essentiellement à poils et à moustaches, plutôt une heureuse tentative de donner aux mots le poids qui leur convient, partant du principe que, eux, n'ont pas de sexe - ou ne devraient pas en avoir car ils n'en ont parfois que trop »[55]. Hubert Heyrend est bien plus sévère pour La Libre Belgique, estimant qu'Audrey Dana « n'aime visiblement pas les femmes » et qu'« elle en dresse en tout cas un portrait radicalement sexiste »[60]. Vanessa Paradis ayant affirmé que Sous les jupes des filles était « un très beau film de femmes sur les femmes, absolument pas féministe »[105], Kopiejwski se demande « ce que ce mot maudit recouvre pour elle »[103]. Alain Souchon clip officielSuivez toute l'actu sur http://www.alainsouchon.netNouvel album "Ecoutez d'où ma peine vient" sortie le 1er décembre 2008 Le début du tournage est un temps annoncé pour septembre 2013[21] mais il a finalement lieu à Paris du 17 juin[20] au 9 août 2013[18]. Dans Cheek Magazine, Faustine Kopiejwski lui reproche de souscrire seulement au terme « militantisme » mais d'être « mal à l’aise avec la notion de féminisme », « comme s’il s’agissait d’un tabou »[103]. La rédaction de la RTBF parle de « jeu de massacre », qui aurait pu « être amusant s'il était bien écrit et/ou bien réalisé », et de « mauvaise sitcom » à la « vulgarité [...] terrifiante » qui se place alors comme « un des grands navets de 2014 »[61]. Le qualifiant de « portrait puzzle découpé en onze pièces », il souligne que c'était une « entreprise à risques multiples » qui « aurait pu verser dans la seule misandrie militante, sans recul, sans second degré » ou encore proposer un « humour aussi lisse que très vite insupportable »[59]. Adeline suggère à Rose d'aller à la braderie organisée par Lili. Dans son appartement, Jo est agacée par les disputes entre Jacques et ses enfants, mais aussi par les gestes entreprenants de son amant au moment où ses hormones ont plutôt tendance à la rendre froide sexuellement parlant. La réalisatrice présente aussi son film comme une volonté de « casser les jambes au mythe de la femme française »[17]. Un peu plus tard, anticipant une hypothétique agression dans la rue, elle vaporise par maladresse sa bombe lacrymogène dans ses propres yeux. La bande originale est composée par Imany. Sous les jupes des filles revendique aussi une liberté de ton et la possibilité, pour les femmes, d'utiliser un langage cru[22],[54]. En Russie, sur le site Film.ru, Ievgueni Oukhov attribue une note de 6/10, considérant que le film échoue à combiner les histoires de tous les personnages et que la réflexion sur les femmes est plutôt superficielle, mais saluant l'impressionnant casting et soulignant que les défauts n'empêchent pas de prendre du plaisir[71]. Il qualifie la distribution de « casting quatre étoiles façon Expendables en escarpins », dont il concède seulement « la bonne humeur » générale et la belle performance de Laetitia Casta[1]. Sur Internet, Sous les jupes des filles obtient un accueil public plutôt moyen dans l'ensemble, voire négatif, puisque les moyennes sont situées entre 4 et 6 sur 10 (ou équivalents) sur les sites ayant recueilli plus de 500 votes. Elle précise aussi que la réalisation de ce film lui a fait prendre « conscience des progrès qu'il reste à accomplir » et lui a permis de s'identifier elle-même comme féministe[102]. Dans la rue, perturbée par des remarques sexistes de deux passants, Fanny heurte violemment un poteau puis se relève avec l'aide d'Adeline. La dernière modification de cette page a été faite le 28 janvier 2021 à 22:57. Elle leur demande notamment « leurs fantasmes d'actrices » et les rôles qu'« elles aimeraient jouer mais qu'on ne leur a jamais proposé »[15]. Éric Libiot remarque que ça « parle sexe et hormones, fidélité et plans cul, corps, pulsions et contraintes en un point de vue exclusivement féminin »[55]. Toutefois, la sexualité est surtout abordée à travers les fantasmes[3].

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