Lire ses 9 critiques, Suivre son activité Critique de la raison ... positivement les revendications feministes a l’interieur d’une plateforme politique elargie. Chaque binôme change d'étage chaque mois (pour le pire ou le meilleur) et donc la seule nourriture disponible est celle de la plateforme descendant à chaque étage seulement quelques minutes par jour. 64 abonnés Anxiogène à souhait, le film es vite prenant pour peu que vous aimez ce genre, le film interroge beaucoup et délivre peu de réponse jusqu'à sa fin, ou chacun aura sûrement un avis à la manière de Cube. 10 abonnés Nous suivons donc le parcours de Goreng à différents étages et avec différents compagnons de "cellule", pendant une peu plus d'une heure, jusqu'à ce qu'il se décide à passer à l'acte dans un élan d'altruisme. qui, comme dans le film, ne sera sûrement pas entendu ou compris. bande d’écran pas large!!!! 4- Goreng est un Don Quichotte des temps modernes (forte ressemblance physique d'ailleurs), il a voulu aider son prochain mais a échoué tout comme lui. Pourquoi la mère de la fille qui fait des aller retour tous les jours sur la plateforme ne remonte t'elle pas avec elle ? Ainsi, avec son point de départ, le film se présente d'abord comme un huis clos terriblement oppressant et sombre, lorgnant sur des terres dystopiques. Le grand final, emplit d'onirisme, provoquera d'ailleurs sans doute plusieurs réflexions mitigées à cause de sa rapidité et de sa brusquerie. La fille tout en bas mange la pana cotta, elle n'a donc pas pu remonter. Paris: Editions Anthropos, 1965. La mauvaise habitude Netflix. La plateforme : Le réalisateur analyse le message politique et social de son film "Ce n'est pas, comme l'affirment certains, une critique sociale, c'est une auto-critique sociale." Disponible sur Netflix. Lire ses 1 470 critiques, Suivre son activité Lire ses 8 critiques, Suivre son activité Trouvez des ressources sur l'esprit critique, l'éducation aux médias, l'épistémologie et toutes autres disciplines qui permettent de parler de science, de culture et de croyance de manière apaisée. Effectivement, 333 cellules occupée par 2 personnes ça fait bien 666. Une bonne production Netflix qui sort de l'ordinaire. Les services AlloCiné | Il n'y a pas d'étage 333 car il représente tout simplement l'enfer (333 x 2 personnes = 666), la mort, le parcours final de Goreng qui rejoint ainsi Trimagasi. On sait désormais qu'il faudra compter sur Galder Gaztelu-Urrutia tant La Plateforme, pour un premier film, jouit d'une richesse thématique hallucinante, d'une justesse scénique impressionnante et d'une dynamique captivante. 24 abonnés Abonnez-vous au podcast CINECAST sur la plateforme de votre choix : https://smartlink.ausha.co/cinecast --- Titre : The Front Runner Sortie : 16 janvier 2019 (disponible sur Netflix) De : Jason Reitman Avec : Hugh Jackman et Vera Farmiga. "Le changement n'est jamais spontané" avance l'un des personnages du récit, et en effet, bien au contraire, il se provoque, se gagne. On balance des tas de bonnes idées et charge au spectateur de se démerder pour comprendre. Et parce que les défavorisés sont incapables de se faire entendre, non pas par fainéantise mais bien parce que le système les en empêche, la solution est ailleurs, au-dessus. Ce film me fait penser à ces mangas style ghost in the shell, ou alors matrix où ça part dans tous les sens pour donner une illusion de je sais pas quoi. Film très décevant. Lire ses 1 285 critiques, Suivre son activité pourquoi la femme est dans la prison alors qu'elle a travaillé 25 ans la bas ?! [Critique Netflix] La Plateforme, dystopie sociale et malsaine . Notre critique du film "The Front Runner" réalisé par Jason Reitman avec Hugh Jackman, Vera Farmiga. Bref, les acteurs sont bons, la réalisation est simple mais efficace mais souffre un peu de détails qui ne servent pas le propos, ou pas assez. Jouant farouchement avec de nombreux gros plans sur les visages ou sur les objets, des décors crades (cette table dégoutante), des couleurs sinistres et ne refusant jamais de montrer l'horreur directement, Galder Gaztelu-Urrutia fait suffoquer son personnage principal et les spectateurs. Alors que le cinéma est en crise à cause de la pandémie de coronavirus, Netflix n'a jamais eu autant de visibilités auprès de ses abonnés avec le confinement mis en place sur une bonne partie de la planète. je le recommande mais attention : âmes sensibles s'abstenir. En fait, ils ont réussi à faire remonter la panna cotta intacte et le chef cuisto n'arrive pas a comprendre pourquoi elle est remontée, il cherche donc un coupable dans les rangs des cuisiniers et le cheveux (invisible) est un prétexte. ), ok pour prendre des gens de peu, mais un peu de candeur dans le regard, de la bonté...ah oui en plus le film est misanthrope - mais de la misanthropie un peu adolescente - décidément les films high concept ne me branchent plus ces temps ci... Lire ses 539 critiques, Suivre son activité Le film est déroutant. Je n'avais vu que cube.. Against fake news, fraud and disinformation You have to enable javascript in your browser to use an application built with Vaadin. n'importe quoi ! On peut entrevoir une métaphore de la pyramide sociale ou du cannibalisme sociale qu engendre le capitalisme néo libérale ds ces formes les plus extrêmes... Les jeux des acteurs sont correctes et la technique également. Cette sensation d'étouffement des personnages et notamment celui de Goreng va perdurer tout au long du long-métrage, mais elle va se déplacer peu à peu vers un sentiment beaucoup plus dangereux et inquiétant. Lire ses 56 critiques, Suivre son activité Les marques citées sont la propriété de leurs détenteurs respectifs, aux États-Unis et dans d'autres pays. Lire ses 1 009 critiques, Suivre son activité La satire c'est bien, mais la satire c'est fin. Bref trop de flou et je n'aime pas les films qui finissent comme ça. Note : 7/10 . En pleine période de confinement, La Plateforme répond d'ailleurs (hasard du calendrier) parfaitement à l'actualité provoquant une sensation d'étouffement, de malaise, d'inconfort évident et finalement de paranoïa à l'image de l'oeuvre culte de Vincenzo Natali : Cube. Politique de cookies | Le principe de base est prometteur mais on tombe dans une critique sociale 1er degré avec des personnages vides et une vulgarité non nécessaire. Bref, les bases sont simples, efficaces et ne laissent place à aucune fioriture pour aller droit au but. Sinon ds l ensemble c'est bien fichu... Send your songs to the best music media, blogs, radios, record labels, Spotify playlisters, bookers... Get listened to, feedback guaranteed and coverage Et lire des passages d'un bon livre ne font pas d'un film médiocre un film intelligent. Le premier long-métrage de l’Espagnol Galder Gaztelu-Urrutia, La Plateforme, est sortie pendant le confinement sur Netflix. PS : Il faut m'expliquer ce que faisait la femme. on ne sait pas si au final la fille est remontée, si le héro est en fait mort tout en bas. We're sorry but portal doesn't work properly without JavaScript enabled. Vladimir Orlowski, Par les membres ayant fait le plus de critiques. La Plateforme fait parti de ces petits films pas attendus ni médiatisés et qui pourtant méritent plus qu'un coup d'oeil et bien toute notre attention tant ils en ont dans le ventre. Comment fait elle pour survivre? Avec ce survival politisé et sanglant, Netflix reste dans l’air du temps et affirme ses envies de proposer un catalogue éclectique, naviguant entre les genres. 5 abonnés Mais j'y reviendrais tout à l'heure car parlons tout d'abord de l'œuvre dans son ensemble et surtout de son concept original et ô combien génial. Pourquoi la scène du cheveux sur la pana cotta en début de film ? Imaginez un thriller à concept à la Cube, une réflexion sociale sur le capitalisme et le consumérisme à la Snowpiercer : Le Transperceneige et une horreur soudaine, parfois trash et gore, à la Saw, et vous obtiendrez l'étrange et captivant long-métrage qu'est La Plateforme. Goreng se réveille dans une prison verticale où les cellules (avec deux personnes chacune) se surplombent et son reliées par une « fosse » à la profondeur insondable. Totalement assumé, cette "plateforme" remarquable n'est vraiment pas à mettre en toutes les mains. 8 abonnés Pourquoi le personnage principal ne remonte t'il pas avec la fille ? Âmes sensibles s'abstenir... Sujet très intéressant dans la lignée de Cube, surtout la première partie. Sauf que ici la roue tourne. Personnellement je trouve ce film génial <3<3<3 ;). La Plateforme provoque alors une folie légitime, voire essentielle, chez son héros et vient complètement chambouler son point de départ horrifique et angoissant pour devenir une véritable réflexion sociale sur le capitalisme. comment a t'elle survécu ?! A travers nos travaux de recherche à la SCIC Les oiseaux de passage, nous développons un regard critique sur le système touristique et, en particulier, sur l’impact de la catégorie « touriste » sur l’hospitalité des personnes de passage tout comme sur les lieux et communautés d’accueil. Le coter malsain est bien présent. CaptainFact. Mais les occupants des niveaux supérieurs ne laissent guère de vivres aux suivants… et le message de quoi ? L'horreur n'est pas seulement physique, elle est surtout existentielle. Bordel. (Tiens mais que devient Vicenzo Natali ?). L'enfer peut commencer. Pour autant, il a le mérite de laisser libre cours à de nombreuses interprétations, qu'elles soient religieuses, philosophiques ou sociétales, et laisser une grosse dose de mystère allouant au film une profondeur qu'il faudra explorer plusieurs fois avant d'en assimiler tous les recoins. ©AlloCiné, Retrouvez tous les horaires et infos de votre cinéma sur le numéro AlloCiné : 0 892 892 892 (0,34€/minute). 17 abonnés Ca doit surement, ceci-dit, émoustiller quelques intellos pour leur branlette du week-end en se disant qu'ils ont compris 2 ou 3 trucs philosophiques ou pseudo religieux, mais bon.... faut arrêter de nous prendre pour des pommes. Après le scénario en lui même est plutôt simple et ne montrera et ne traitera uniquement le même sujet sur 1h30, à savoir la survie, qui ne peut passer que par le partage, et il s'avéra que le message soit difficile à passer entre les étages du à l'égoïsme. Données Personnelles | l'histoire nous embarque dans cette critique de l'égoïsme du partage des richesses dans le monde. Un enfermement particulièrement magnifié et accentué par la mise en scène du réalisateur espagnol. Et pourtant, ces deux mondes se ressemblent. pourquoi ils changent de niveau tous les mois et sur quoi ils se basent pour les changer de niveaux Ce sera tout l'objet du dernier tiers du film, qui se révélera un peu court et trop mécanique devant la grandeur de l'enjeu. bref je suis bien saoulée car j'ai perdu mon temps alors le film s'il avait bien été réalisé aurait pu être superbe Très bon film, dommage que Netflix absorbe tout. Je viens de regarder le film et je n'ai absolument rien compris à la fin en queue de poisson. Un conte métaphorique sur notre société. Quelques scènes assez gores peuvent êtres dérangeantes pour les moins aguerris... Sinon tout aussi enrichissant de vous lire dans vos observations et critiques. De la protection de l'innocence des enfants dépend le salut de l'humanité. Je ne saurais pas le categoriser tellement il est noir, sévère, trash, assomant et intriguant. La fin, assez semblable à celle de Cube dans "l'idée" arrive comme si le réalisateur s'était soudain rendu compte qu'il ne savait pas comment finir son film SAUF SI. Lire ses 510 critiques, Suivre son activité Tres / trop réaliste sur notre société. Premiers servis premiers nourrit. 5- Tout comme Trimagasi, il mérite l'enfer et donc le fameux niveau 333 (666) car il a lui aussi tué du monde au passage. Hatin, Eugene. Adam Wingard, avec 186 abonnés Lire ses 3 critiques, Suivre son activité La chute laisse un peu à désiré mais sachant qu'il s'agit d'une expérience tout est permis et chacun en ira de son imagination. 47 abonnés Lire ses 651 critiques, de Un film dans la Ligné de the cube, il y a de l'idée à travers le scénario de la plate-forme qui est assez original ce qui nous fait oublié la linéarité du huis clos. La musique très organique et scabreuse, usant beaucoup de sonorités dérangeantes, décuple également la gêne qui nous saisit. la pannacota c'est le message puis ensuite la fille c'est le message ?! On comprend d'ailleurs dès les premières minutes la critique sociale voulue par le réalisateur, critique qui nous sera d'ailleurs répétée tout au long du film (l'homme est un loup pour l'homme). Collaborative Fact Checking platform To train a critical mind, improve the quality of information and decision-making. Mélange malin, pertinent et novateur du meilleur de Cube, Snowpiercer et Saw, La Plateforme est un premier film ultra-percutant, angoissant, violent et étouffant, dénonçant farouchement, et non sans virtuosité, le système capitaliste. Les sites de débunkage “citoyens” – qui consistent à démystifier les informations –, très réactifs contre des sites confidentiels, semblent ignorer la grande presse. Pourquoi arreter si brutalement le film ? Derrière cette métaphore aussi violente et gore que minimaliste, se cache une petite pépite ibérique que Beckett ou Pinter aurait pu écrire.On parle ici d'inégalité, d'égoïsme, d'individualisme, de redistribution, et le réalisateur bouscule le spectateur sans ménagement, à la limite de l’écœurement. PS3 : Les cinéphiles qui ont apprécié ce film semblent dire que c'est pour les acteurs et la morale. Les effets spéciaux ne sont pas rater, même assez réussi. Nous sommes le 1er Avril ! Ce huis-clos est très bien ficelé, même si on pense inévitablement à Cube. $39.99. Action, Aventure, Rétro, Plateforme. Dune, Avatar 2, Eternals, Suivre son activité A la fin de La Plateforme, il y a deux issues possibles qui permettent au téléspectateur de faire son choix sur la fin que l’on aimerait voir. Suivant des règles très précises parfaitement cohérentes et judicieusement développées, le premier long-métrage de Galder Gaztelu-Urrutia jouit d'un concept captivant et terriblement évocateur. Quand un film n'a aucun sens, je ne comprends pas comment il peut être apprécié par quelqu'un... en plus celui-là, il n'y a pas du tout de fin, mais alors pas du tout. Chaque cellule/étage contient uniquement deux lits, deux personnes, une toilette, un lavabo et l'unique objet que chaque détenu à souhaiter apporter durant sa peine (un livre, une couteau, un chien, une corde...). Bref j ai bien aimé à part la fin... La Plateforme est un film Espagnol, disponible sur Netflix et qui peut s'apparenter un peu à Cube. L'administration, qu'est ce que c'est? le film est pas mal et on attend avec impatience la fin histoire de comprendre et bah non, la fin est merdique et on ne comprend rien ! J’espère même que le "covid19" nous aidera a prendre conscience de cela et a entamer des changements. Lire ses 1 885 critiques, Suivre son activité Lire ses 246 critiques, Suivre son activité C'est aussi le même type de fin ! Lire ses 434 critiques, Suivre son activité pleins de questions restées sans réponses (attention spoiler) : Conformément à la loi n° 78-17 du 6 janvier 1978 relative à l'informatique, aux fichiers et aux libertés, le site www.avoir-alire.com est enregistré à la CNIL sous le numéro : 1033111. Je ne suis pas une habitué du genre espagnole. Par conséquent, en s'appuyant sur cette allégorie pertinente de la lutte des classes, le jeune réalisateur espagnol tente de dénoncer les méthodes d'un système en décomposition, dont les vertus se sont perdues en chemin voire n'ont jamais été que des leurres. Découvrez la critique du film La Plateforme de Galder Gaztelu-Urrutia - Alors que le cinéma est en crise à cause de la pandémie de coronavirus, Netflix n'a jamais Réponse apportée le 06/02/2010 par PARIS Bpi, vérifiée le 11/12/2017 « la critique journalistique, même lorsqu’elle porte sur des sujets littéraires, doit être nettement distinguée de la critique universitaire en la matière, dont la volonté est de disséquer, de créer des catégories, de repérer chaque procédé. Après une ouverture énigmatique dans des cuisines luxueuses aux mets gourmands et qui pourraient figurer au Guide Michelin, le long-métrage espagnole nous plonge très rapidement au coeur du système de la Fosse à travers le regard de Goreng. 155 abonnés Tout comme avec cube je ne regrette pas de l'avoir vu et je pense accorder un peu plus d'attention désormais au cinéma espagnole. Il y a du Cube dans ce film espagnol....pas mal du tout, surtout qu'on ne sait pas trop où tout ça va nous mener. L'enfance porte le message du changement possible en mieux, à condition que nous sachions la protéger. 3- C'est donc bien la fameuse Pana Cota qui est remontée au niveau 0 au milieu d'une plateforme totalement vide de nourriture, mais hélas le message n'est pas passé, faute à un petit cheveux tombé dessus pendant sa descente et sur lequel le grand chef se focalise maladivement. Le réalisateur l'a lui-même dit, cet étage n'existe pas vu que Goreng est mort lors de sa descente. Ce film aurait pu être génial, mais on reste sur sa faim. Kyle Chandler, Millie Bobby Brown, Contact | communication, 2019), la série de 15 capsules vise à aiguiser le sens critique des jeunes de 9 à 12 ans. Nan mais vraiment n'importe quoi. Par ce trou, une plateforme descend avec de la nourriture et s’arrête un instant à chaque étage. PS2: On ne me fera jamais croire qu'il y a assez à manger à l'étage 0 pour 2x220+ personnes. qu'est-ce qui lui arrive après ? Et jme suis laissé tenté par ma plateforme. Action, Aventure, Coop, Écran partag ... Tous droits réservés. : Les plats sont censés nourrir les détenus mais avec un seul repas par jour, les premiers étages sont forcément avantagés, pouvant manger à leur faim avec une table propre et abondante, quand les derniers étages restent affamés. est ce pour montrer le niveau d'inconscience des cuisiniers sur ce qui se passe en dessous ? Revue de presse | BIBLIOGRAPHIE HISTORIQUE ET CRITIQUE DE LA PRESSE PERIODIQUE FRANCAISE PRECEDE D'UN ESSAI HISTORIQUE ET STATISTIQUE SUR LA NAISSANCE ET LES PROGRES DE LA PRESSE PERIODIQUE DANS LES DEUX MONDES. Ça m'a fait penser à la saga Cube que j avais adoré... Un sentiment d'inachevé nous laissant dans l'espoir d'une suite .... Malheureusement pour moi ce n'a été qu'un court métrage étiré. Comble du hasard, l'arrivée du thriller horrifique et social La Plateforme dans son catalogue retentit étrangement avec l'actualité. La scène du cheveux sur la panna cotta symbolise le bug dans le système. Car en effet, dès les premières minutes, on comprend que son personnage est enfermé dans une prison verticale, surnommée la Fosse donc. Le pitch de départ est simple mais redoutable. Bonjour à vous Puis vient la fin, trop courte de quelques minutes ou seconde, qui nous aurait montré éventuellement la petite fille arriver en haut et la réaction des cuisiniers... Je comprends les références bibliques du Méssie, du nombre 333, de la lutte des classes, mais le film en montre trop ou pas assez pour prétendre à être un trés bon film. Bien réalisé dans des décors sobres et minimalistes mais terriblement efficaces avec de bonnes scènes de tensions. Incarné par Ivan Massagué, il sera le centre de la plongée dans l'enfer de cette prison verticale où il est atterri volontairement pour obtenir un certificat. Pour politiquer cela me fait trop penser a une réflexion sur les" premier de cordées". Les acteurs sont très bons. Ainsi, le thriller à concept, déjà bien morbide, se transforme soudainement en film d'horreur en fonction des découvertes de Goreng, de ses relations avec les autres détenus et de l'avancée du temps. Le cinéma espagnol prend son envol ...! Mais le tous est vraiment intriguant, intéressant et plutôt bien interpréter. Je soutiens la liberté critique. LA PLATEFORME, une faim inassouvie – Critique. La Plateforme : critique qui rend fou sur Netflix, Trolls de Troy : quand l'amour prend aux tripes, Justice League 2 : ce qui devait se passer dans la trilogie après le Snyder Cut (partie 1), Les Kassos, Vermin... Bobbypills, le méchant et génial studio français qui a dynamité l'animation, Justice League : la version folle qu'on ne verra jamais, par le réalisateur de Mad Max, Star Wars : classement de toute la saga, du pire au meilleur. La Critique de La Plateforme : Difficile de ne pas penser à Cube, le film culte de Vincenzo Natali, devant le premier essai du réalisateur espagnol Galder Gaztelu-Urrutia.Même ambiance, même prison étrange. Pourquoi nous montrer les cuisines et cuisiniers d'en haut pour rien expliquer ensuite? pourquoi 333 niveaux ? CGU | Plusieurs personnes sont enfermés ds une fosse à plusieurs niveaux dans laquelle une plateforme remplie de nourriture descend chaque jour... Plus la plateforme descend et moins il y a de nourriture... Les premiers servis ds les niveaux supérieurs sont les plus chanceux... Les derniers ds les niveaux inférieurs se bouffent entre eux... Je ne vais pas revenir ici dessus mais il s'apparente à la lutte des classes. Distribution de matériaux de construction, plus de 20 000 produits en stock permanent exclusivement réservé aux professionnels du bâtiment. Belle satyre du monde actuel ce réalisateur espagnol signe là un puissant premier film! Avec son système vertical, La Plateforme n’est évidemment pas subtil. ca va changer quoi quand elle sera au niveau 0 hein ? Là où l'oeuvre du coréen reposait sur une représentation horizontale des conflits sociaux à travers les wagons que remontait un à un le personnage de Chris Evans, l'inhumanité du capitalisme est ici verticale avec cet empilement d'étage qui ne semble plus en finir. Vous n'êtes pas d'accord avec nous ?Raison de plus pour vous abonner ! Où arrive la plateforme à la fin, une grande pièce toute noire ou tout semble en lévitation ? C'est excellemment filmé et la tension ne faiblit pas tout au long du film. Il y a quand même qu'une seule chose pour qu'un film soit au moins médiocre : de la cohérence ! pourquoi après le niveau 333 ça descend grave et on voit plus rien, c'est quoi cet endroit ? Alors qu'Alejandro Amenábar et Álex de la Iglesia ont fait leur preuve depuis bien longtemps, le pays a su dénicher de petites perles comme Juan Antonio Bayona (The Impossible, Quelques minutes après minuit), Raúl Arévalo (La Colère d'un homme patient), Alberto Rodríguez (La Isla mínima) et bien évidemment Rodrigo Sorogoyen à qui l'on doit d'ores et déjà trois grands films en seulement quatre ans : Que Dios nos perdone, El Reino et Madre. Serge Alain KOFFI Le Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP), la coalition au pouvoir en Côte d’Ivoire, a critiqué jeudi la future plateforme de l’opposition envisagée par le président du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI) Henri Konan Bédié qui s’est récemment retiré du RHDP dont il a contribué à sa création. Les personnes en haut ont tout, ceux du milieu ont suffisamment pour vivre et ceux du bas... En bref, angoissant, percutant et efficace. Et que deviens la petite fille à la fin ??? commentaire suprimé why???? Et arrive donc rapidement cette fameuse fin dont je vais vous livrer mon interprétation, et qui serait d'ailleurs la véritable interprétation car le réalisateur a lui-même un peu vendu la mèche : Excellent mixe entre The cube et Snowpiercer qui abordait déjà le thème des classes sociales ou les wagons on ici été remplacé par des étages. 21 abonnés 2- La petite fille n'existe donc pas, sauf dans le cerveau de Goreng, ce qui explique son état étonnement impeccable (cheveux, visage et vêtements). 1H30 de pamphlet à peine supportable sur ce qu'est l'homme pour l'homme. La fameuse fin qui divise tout le monde... elle fait beaucoup parler d'elle, à raison, car elle n'est pas assez explicite et laisse bien trop de questions en suspens et bien trop de libres interprétations.

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